• "De Notre Sang" - Adeline DEBREUVE-THERESETTE

    De notre sang

     

    Titre : De Notre Sang

    Auteur : Adeline DEBREUVE-THERESETTE

    Éditions : Le Petit Caveau

    ISBN : 978-2-9533892-1-0

    Nombre de page : 152

     

    4ème de couverture :

    Transylvanie, fin du dix-neuvième siècle.

    Traqué sans relâche, Dracula, le Prince des Vampires, dépositaire du sang de l'immortalité, craint pour l'avenir de sa race.

    La seule solution, pour assurer une pérennité certaine aux siens, serait d'engendrer un héritier de son propre sang.

    Mais pour cela, il lui faut d'abord trouver une humaine capable de porter en son sein l'enfant d'un non-vivant...

     

    En France, Marie Iscariel, dame de compagnie d'une riche héritière, fait le même étrange cauchemar depuis son enfance : un rêve effrayant où il n'est question que de peur et de mort.

    Entraînée au coeur d'un monde inconnu, la jeune femme va découvrir que l'amour et le sang peuvent parfois s'unir pour créer une étrange destinée...

     

    Résumé :

    Le comte Dracula vient de prendre conscience que si il meurt  toute sa lignée de sang disparaîtra avec lui. Aujourd'hui personne ne sait comment le détruire, mais ses ennemis sont si nombreux qu'ils finiront par découvrir comment  y parvenir.

    Pour assurer sa lignée, Dracula veut une descendance de son propre sang, il se guide à une prophétie pour atteindre son but :

    "Au crépuscule, le soleil sanglant se couchera.

    Pour que l'aube renaisse après la nuit tombée,

    La dernière héritière du traître apparaîtra

    Et offrira amour, salut et pureté.

    Alors, un nouvel astre se lèvera."

     

    Dracula à découvert cette prophétie une nuit en voulant se nourrir d'une jeune fille vierge dont l'odeur du sang est un délice pour le comte.

    Ce soir là, Dracula s'était vu ôter son repas par la grand-mère de la jeune fille, qui avait préféré tuer sa petite fille en la poignardant plutôt que de prendre le risque qu'elle finisse vampire. Dracula s'était vu contraint de se nourrir de la vieille femme qui avait au préalable écrit la prophétie avec le sang de sa petite fille qui venait juste de mourir.

     

    Malgré toutes ses tentatives, Dracula n'arrive pas à engendrer d'héritier que ce soit avec des vampires de sa lignée ou des princesses humaines, il lui faut "L'héritière du Traître".

    Dracula découvre que cette l'héritière n'est autre que la descendante de Judas Iscariote, le traître qui a vendu Jésus pour 30 pièces d'argent. Le comte quitte la Transylvanie pour le Vatican à Rome.

     

    A son arrivée à Rome, Dracula se voit contraint de transformer l'archevêque afin d'accéder aux manuscrits indispensables pour retrouver la lignée de Judas Iscariote. Après plusieurs jours de recherche, il découvre qu'il ne reste plus qu'une seule personne de la descendance de Judas : une jeune fille nommée Marie Iscariel et qui vit en France.

     

    Marie Iscariel, dame de compagnie de Mme Germont une riche héritière, fait un cauchemar depuis son enfance, mais depuis peu celui-ci est systématique dès qu'elle s'endort. Dans son rêve, Marie voit une jeune fille poignardée sur une table ; au sol une vielle femme également sans vie avec une morsure au cou et qui a conservé un regard terrifiant.

    Marie se confie à Mme Germont sur son rêve étrange, celle-ci est catégorique, ce rêve est à prendre au sérieux car la vision de la vieille femme avec sa morsure est la preuve qu'il s'agit de l'acte d'un vampire.  Mme Germont présente donc Marie au père Malcourt , et ensemble ils envoient un message à l'archevêque du Vatican sans savoir que celui-ci est sous la coupe du fameux Dracula, le Prince des Vampires.

     

    En apprenant l'identité de la jeune fille française, à distance, Dracula organise l'isolement de Marie et son enlèvement.

    Le comte installe Marie dans son château en Transylvanie en ayant en tête qu'une seule idée : qu'elle lui donne un fils.

    Mais Marie ne voit en Dracula que le démon et elle est déterminée à ne pas céder, quitte à se laisser mourir s'il le faut, mais elle ne donnera pas naissance à un monstre. 

     

    Ce que j'ai aimé :

    - Le comte Dracula est différent de celui de Bram Stoker,

    - Dracula est l'idée exacte que je m'en fait, séduisant, intransigeant, calculateur et coléreux

    - La dernière phrase du livre qui correspond au titre

     

    Moins aimé :

    - L'évolution des sentiments des 2 personnages est trop rapide, Marie déteste Dracula,  et lui ne voit en elle que femme qui lui donnera son fils... puis ils se rendent compte qu'ils s'aiment...

     

    Note globale : 5/5

    Comme toujours, jamais déçue par les éditions du Petit Caveau, au suivant... 

     

     

     

     

     

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  • Commentaires

    1
    Thierry vidal
    Mardi 19 Avril 2011 à 12:00
    Arrêtes tu m embêtes !! Je veux plus lire tes articles... Celui la aussi me plait !!
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